Recits de voyage de Michel Casquette!!!
(Extrait du carnet ¨Mon cher Journal¨ de Michel Casquette, retrouve sur un bord de route par un 4*4, du 12/06/10 au 23/06/10)
12/06/10
Tout a commence aujourd'hui, nous etions tranquillement en route pour une petite balade sur le Salar d'Uyuni, le salar le plus grand du monde: "Un petit tour quatre ou cinq jours, le temps de faire bronzette!"
Des les premiers kilometres sur cette surface lisse, blanche, nous avons ete impressione par tout cet espace. Ensuite il y a une petite phase ou tu as l'impression que tu ne roules pas sur du sel, mais sur de la glace (attention au freinage!!) et puis les mauvaises langues diront: " cinq jours de blanc, voir toujours le meme paysage, on va s'embeter, non?" Heureusement pas de mauvaises langues parmis nous...
Alors que nous filions comme le vent,sur nos destriers d'acier, vers l'ile d'Incawasi, que nous avions dans le colimateur depuis au moins deux bonnes heures (et oui sur le plat les distances ca joue des tours et c'est parfois un peu dure pour le morale...) nous sommes tombes nez a nez avec un 4*4 immatricule dans la Sarthe (72).
Une famille de francais ferue de voyage, Didier et Annie et leur fille de 14 ans Camille. S'ensuit une discussion , qu'est ce que vous faites la, ou vous allez apres, etc... tout le tintouin classique d'une rencontre entre voyageurs... Mais le contact est la, la discussion prend et nous commencons a avoir un peu faim. Quoi de plus naturelle que de tailler la bavette sur un bout de salar, le sel a porte de main (ou de tournevis pour camille).
Avec tout cela, il commence a se faire tard, il va etre temps de reprendre la route... :"Ah tiens qu'est-ce que c'est que ce truc qui avance vers nous?" "Ca va pas tres vite, c'est pas un 4*4!" On sort les jumelles: "C'est un cycliste!" "Chouette on va etre 7!" "Ou une cycliste" "Quuuuoiiii!! C'est moi qui l'ai vu le premier....". Le temps de prendre les paris sur sa nationalite LE cycliste en question arrive et c'est un petit gars de Strasbourg, Matthieu, un guide alsacien
qui vient se rajouter a notre petite reunion sur le Salar, plus pratique quúne boussole pour s´orienter dans ces regions extremes.12/06/10
Tout a commence aujourd'hui, nous etions tranquillement en route pour une petite balade sur le Salar d'Uyuni, le salar le plus grand du monde: "Un petit tour quatre ou cinq jours, le temps de faire bronzette!"
Des les premiers kilometres sur cette surface lisse, blanche, nous avons ete impressione par tout cet espace. Ensuite il y a une petite phase ou tu as l'impression que tu ne roules pas sur du sel, mais sur de la glace (attention au freinage!!) et puis les mauvaises langues diront: " cinq jours de blanc, voir toujours le meme paysage, on va s'embeter, non?" Heureusement pas de mauvaises langues parmis nous...
Alors que nous filions comme le vent,sur nos destriers d'acier, vers l'ile d'Incawasi, que nous avions dans le colimateur depuis au moins deux bonnes heures (et oui sur le plat les distances ca joue des tours et c'est parfois un peu dure pour le morale...) nous sommes tombes nez a nez avec un 4*4 immatricule dans la Sarthe (72).
Une famille de francais ferue de voyage, Didier et Annie et leur fille de 14 ans Camille. S'ensuit une discussion , qu'est ce que vous faites la, ou vous allez apres, etc... tout le tintouin classique d'une rencontre entre voyageurs... Mais le contact est la, la discussion prend et nous commencons a avoir un peu faim. Quoi de plus naturelle que de tailler la bavette sur un bout de salar, le sel a porte de main (ou de tournevis pour camille).
Avec tout cela, il commence a se faire tard, il va etre temps de reprendre la route... :"Ah tiens qu'est-ce que c'est que ce truc qui avance vers nous?" "Ca va pas tres vite, c'est pas un 4*4!" On sort les jumelles: "C'est un cycliste!" "Chouette on va etre 7!" "Ou une cycliste" "Quuuuoiiii!! C'est moi qui l'ai vu le premier....". Le temps de prendre les paris sur sa nationalite LE cycliste en question arrive et c'est un petit gars de Strasbourg, Matthieu, un guide alsacien
"Bon maintenant il est vraiment tard, on va peut-etre dormir la?" "Et on rentre a combien dans votre voiture?"
Et bien a dix c'est possible et voila une petite soiree improvisee fort sympathique a echanger des souvenirs de voyages, des anecdotes, boire du Martini et manger des cacahuetes... .
d ailleurs voici leur blog: lessautsdepucesdunefamillesarthoise.blogspot.com/
13/06/10
Le lendemain matin, apres un copieux riz au lait made in Zarmalouloux, on dit au revoir a la famille qui part vers Uyuni refaire le plein de tout avant d'affronter le Sud Lupez jusqu'a San Pedro de Atacama.
Le sud Lipez, les plus beaux paysages d'Amerique du Sud, c'est tout de meme dommage de passer a cote sans y faire un petit saut... Et puis Matthieu, est parti pour y aller tout seul et il a une tente trois place... avec ma femme, on saute sur l'occasion.
Et puis depuis quelques jours, nous suivions un autre groupe de touristes, forme de jonny Stachemou et de ses acolytes... Au debut ils etaient gentils, mais en les aidant a cuisiner, j´ai malencontreusement casser un oeuf sur le salar... Ils m'ont mis sur le dos une decouverte scientifique ,soi-disant, incroyable. Ne voulant pas les contrarier, mais ne voulant non froisser le peuple Bolivien tout entier, nous avons prefere, avec ma femme, quitter le tour prevu et suivre ce guide alsacien... Un peu d'aventure que diable!!!!
14/06/10
Les adieux sont dechirants et nous prenons chacun notre route en nous souhaitant mutuellement bonne chance, Jonny Stachemou et sa bande (apres un taillage de barbe comme chaque matin),vers le nord, et le volcan Tunupa et nous vers le Sud, les lagunas, avec le vent dans le dos... . Au bout de quelques kilometres, on rencontre deux Neo Zelandais qui viennent de San Pedro de Atacama, ils ont mis 7 jours, il disent que la route est dure...
Mais bon ca nous reconforte un peu, ca veut dire que c'est possible, en fait on ne sait pas trop a quoi s'attendre. On part la fleur au guidon...
Voila deja la fin du Salar, la piste jusqu'a notre premiere etape Kolcha'K n'est pas tres bonne (sable, tole ondulee) , mais on se dit en rigolant que plus loin ce sera pire.
15/06/10
Le lendemain on visite un musee sur la Quinoa, a la Manica, avec Jesus qui nous expliquent tout de la plantation, a l'estomac. Puis on arrive a San Juan, deuxieme etape, et pas des moindres, c'est la qu'il faut faire les dernieres courses, apres il n'y a plus que des hotels et c'est plutot cher pour notre budget. On rencontre Aldo et Walter deux guides (boliviens ceux-la) ils nous arrangent une nuit chez l'hospedaje Max: "Vous avez besoin de bien vous reposez, la ou vous allez ca va etre dur."
16/06/10
Et au matin du troisieme jour, alors qu'on pensait enfin atteindre les premieres merveilles de notre chemin, ma femme tombe malade. On attend un peu voir si cela passe, mais pas tellement. Alors que c'etait la plus motivee pour y aller pour voir les lagunes de pres avec leurs couleurs et leurs flamands roses, mais non rien a faire son corps refuse de l'emmener dans ces contrees perdues.
Nous repartons donc a deux, avec Matthieu, un peu genes de laisser ma femme toute seule, mais il faut avancer. On espere surtout qu'elle ne va pas trop galerer pour rejoindre les autre a Uyuni, ou pour nous ratttraper au mirador du volcan Ollague.
Nous voila en piste avec un bon vent de cote qui nous siffle dans les oreilles, discutant, faisant connaissance, c'est assez marrant de partir a l'inconnu avec un inconnu... Et puis on arrive au camps militaire de Chiguana , ou la famille Sarthoise nous a laisse quelques menus frottins...
17/06/10
Les saccoches pleines a craquer nous commencons le veritable chemin vers les lagunes...
Au programme de ce sejour sportif: sport de glisse sur le sable, numero d'equilibrisme pour suivre les traces de 4*4 sans s'enfoncer dans le sable, un peu de trotinette (velo avec un pied qui pousse), marche a pied en poussant son velo, gamelles a 5 km/h(estimation on avait pas de compteur),jeux de piste pour choisir quelle trace de 4*4 suivre (meme si elle sont toutes mauvaises) enfin que des truc sympa... Tout ca ca va encore si le soir tu manges un truc chaud, mais ca c'est sans compter sur le rechaud qui fonctionne quand il veut. En fait c'est pas vraiment la faute du rechaud, mais plutot de l'essence frolatee qui fait des glacons des qu'on descend en dessous de -10° ou -15° la nuit ( autre estimation, mais notre bidon de 5L d'eau a gele entierement...)
19/06/10
En me disant cela, forcement je me dis que je devrais completement craquer, mais ces payages magnifiques, nous laissaient quelques moments d'emerveillements, j'ai meme verse une larme une fois...
... D'ailleurs ce ne sont pas les lagunes qui m'ont semble les plus jolies, ni les plus impressionnantes. Non, ce sont plutot les dunes couleurs saumons, les troupeaux de vigognes (animaux sacres) qui s'enfuit a votre approche (Oh si j'avais eu mon fusil ce jour la quel trophee j'aurais ramene au copains du club de chasse de l'ile de Re), les montagnes a presque 6000m avec leurs couleurs ocre et bordeau, parsemees de "neiges" eternelles (j'appellerai plutot ca de la glace...).Et puis les couchers de soleil tous fabuleux avec ce ciel sans nuages. Et puis quand tu es tout seul au milieu de la nature avec le silence, je parle du vrai silence, ils ont vraiment une intensite particuliere....
Bon et avec l'ami Matthieu, on c'etait mis une petite carotte pour avancer :"Quand on arrive a Uyuni on se fait un resto, un bouteille de vin et un fromage!!" Mine de rien ca fait avancer...
21/06/10
Pour rentrer a la laguna colorada, il y a un poste de controle a passer et 150 bolivianos a payer.
Je ne pensais pas que ce serait aussi cher et a vrai dire c'etait a peu pres ce qu'il me restait pour rentrer a Uyuni. Et puis avec ma petite retraite... Le garde ne voulait pas vraiment changer de position: "La seule solution,c'est de payer". Deux 4*4 de touristes nous sauvent la mise en nous pretant un peu d'argent. On repart du poste avec les tickets d'entree dans le parc et trois interdits:
Pas le droit de planter la tente, pas le droit de tuer des animaux et pas le droit de prendre le chemin le plus court pour aller de l'autre cote de la laguna et ainsi prendre le chemin du retour.
22/06/10
Avec le tour de la laguna (tres tres jolie je dois dire), qui nous a prit trois heures pas possible d'atteindre Quetena la ville la plus proche (70 Km tout de meme), on a du planter la tente...
23/06/10
Le chemin du retour est rytme par une lente redescente vers des altitudes plus correctes (entre 3500 et 4000n), une reparation du rechaud qui fut un succes (il a marche deux jours sans faire des siennes), le passage d'un esprit, d'un coup de vent ou du chat bus de Myazaki (on a pas su se mettre d'accord), des traverses de rivieres, voir de grandes rivieres fraiches, voir meme tres fraiches, des nouvelles recettes de riz au lait (promis je vous donnerai les recettes), des pasages dans des villages ou il n'y a pas toujours ce que tu cherches: "des pates?" "No tenemos", "du riz" "no tenemos" et des visions furtives d'animaux (condors et autres oiseaux, autruches, lievres et autres rongeurs, lama et vigognes)... La route est un peu meilleur a present et puis on a notre carotte qui nous attend a Uyuni alors malgre la fatigue c'est plutot sympa...
Merci Juan Morales, cultivateur de Quinoa et Chuño (patate locale) pour avoir retrouve et envoye a l'ambassade de France en Bolivie, ¨Mon cher Journal¨ de Michel Casquette... Aucune nouvelle de son proprietaire, il aurait disparu au passage de la tribu des zambiles 27 calle Simon Bolivar sur la route du retour d'Uyuni (comprenne qui pourra... donnez des nouvelles, nous on ne sait toujours pas)
Les auteurs
PS: Mme Casquette va bien et attend son mari a l'hotel Uyuni, 23 calle Potosi, a Sucre...
13/06/10
Le lendemain matin, apres un copieux riz au lait made in Zarmalouloux, on dit au revoir a la famille qui part vers Uyuni refaire le plein de tout avant d'affronter le Sud Lupez jusqu'a San Pedro de Atacama.
Le sud Lipez, les plus beaux paysages d'Amerique du Sud, c'est tout de meme dommage de passer a cote sans y faire un petit saut... Et puis Matthieu, est parti pour y aller tout seul et il a une tente trois place... avec ma femme, on saute sur l'occasion.
Et puis depuis quelques jours, nous suivions un autre groupe de touristes, forme de jonny Stachemou et de ses acolytes... Au debut ils etaient gentils, mais en les aidant a cuisiner, j´ai malencontreusement casser un oeuf sur le salar... Ils m'ont mis sur le dos une decouverte scientifique ,soi-disant, incroyable. Ne voulant pas les contrarier, mais ne voulant non froisser le peuple Bolivien tout entier, nous avons prefere, avec ma femme, quitter le tour prevu et suivre ce guide alsacien... Un peu d'aventure que diable!!!!
14/06/10
Les adieux sont dechirants et nous prenons chacun notre route en nous souhaitant mutuellement bonne chance, Jonny Stachemou et sa bande (apres un taillage de barbe comme chaque matin),vers le nord, et le volcan Tunupa et nous vers le Sud, les lagunas, avec le vent dans le dos... . Au bout de quelques kilometres, on rencontre deux Neo Zelandais qui viennent de San Pedro de Atacama, ils ont mis 7 jours, il disent que la route est dure...
Mais bon ca nous reconforte un peu, ca veut dire que c'est possible, en fait on ne sait pas trop a quoi s'attendre. On part la fleur au guidon...
Voila deja la fin du Salar, la piste jusqu'a notre premiere etape Kolcha'K n'est pas tres bonne (sable, tole ondulee) , mais on se dit en rigolant que plus loin ce sera pire.
15/06/10
Le lendemain on visite un musee sur la Quinoa, a la Manica, avec Jesus qui nous expliquent tout de la plantation, a l'estomac. Puis on arrive a San Juan, deuxieme etape, et pas des moindres, c'est la qu'il faut faire les dernieres courses, apres il n'y a plus que des hotels et c'est plutot cher pour notre budget. On rencontre Aldo et Walter deux guides (boliviens ceux-la) ils nous arrangent une nuit chez l'hospedaje Max: "Vous avez besoin de bien vous reposez, la ou vous allez ca va etre dur."
16/06/10
Et au matin du troisieme jour, alors qu'on pensait enfin atteindre les premieres merveilles de notre chemin, ma femme tombe malade. On attend un peu voir si cela passe, mais pas tellement. Alors que c'etait la plus motivee pour y aller pour voir les lagunes de pres avec leurs couleurs et leurs flamands roses, mais non rien a faire son corps refuse de l'emmener dans ces contrees perdues.
Nous repartons donc a deux, avec Matthieu, un peu genes de laisser ma femme toute seule, mais il faut avancer. On espere surtout qu'elle ne va pas trop galerer pour rejoindre les autre a Uyuni, ou pour nous ratttraper au mirador du volcan Ollague.
Nous voila en piste avec un bon vent de cote qui nous siffle dans les oreilles, discutant, faisant connaissance, c'est assez marrant de partir a l'inconnu avec un inconnu... Et puis on arrive au camps militaire de Chiguana , ou la famille Sarthoise nous a laisse quelques menus frottins...
17/06/10
Les saccoches pleines a craquer nous commencons le veritable chemin vers les lagunes...
Au programme de ce sejour sportif: sport de glisse sur le sable, numero d'equilibrisme pour suivre les traces de 4*4 sans s'enfoncer dans le sable, un peu de trotinette (velo avec un pied qui pousse), marche a pied en poussant son velo, gamelles a 5 km/h(estimation on avait pas de compteur),jeux de piste pour choisir quelle trace de 4*4 suivre (meme si elle sont toutes mauvaises) enfin que des truc sympa... Tout ca ca va encore si le soir tu manges un truc chaud, mais ca c'est sans compter sur le rechaud qui fonctionne quand il veut. En fait c'est pas vraiment la faute du rechaud, mais plutot de l'essence frolatee qui fait des glacons des qu'on descend en dessous de -10° ou -15° la nuit ( autre estimation, mais notre bidon de 5L d'eau a gele entierement...)
19/06/10
En me disant cela, forcement je me dis que je devrais completement craquer, mais ces payages magnifiques, nous laissaient quelques moments d'emerveillements, j'ai meme verse une larme une fois...
... D'ailleurs ce ne sont pas les lagunes qui m'ont semble les plus jolies, ni les plus impressionnantes. Non, ce sont plutot les dunes couleurs saumons, les troupeaux de vigognes (animaux sacres) qui s'enfuit a votre approche (Oh si j'avais eu mon fusil ce jour la quel trophee j'aurais ramene au copains du club de chasse de l'ile de Re), les montagnes a presque 6000m avec leurs couleurs ocre et bordeau, parsemees de "neiges" eternelles (j'appellerai plutot ca de la glace...).Et puis les couchers de soleil tous fabuleux avec ce ciel sans nuages. Et puis quand tu es tout seul au milieu de la nature avec le silence, je parle du vrai silence, ils ont vraiment une intensite particuliere....
Bon et avec l'ami Matthieu, on c'etait mis une petite carotte pour avancer :"Quand on arrive a Uyuni on se fait un resto, un bouteille de vin et un fromage!!" Mine de rien ca fait avancer...
21/06/10
Pour rentrer a la laguna colorada, il y a un poste de controle a passer et 150 bolivianos a payer.
Je ne pensais pas que ce serait aussi cher et a vrai dire c'etait a peu pres ce qu'il me restait pour rentrer a Uyuni. Et puis avec ma petite retraite... Le garde ne voulait pas vraiment changer de position: "La seule solution,c'est de payer". Deux 4*4 de touristes nous sauvent la mise en nous pretant un peu d'argent. On repart du poste avec les tickets d'entree dans le parc et trois interdits:
Pas le droit de planter la tente, pas le droit de tuer des animaux et pas le droit de prendre le chemin le plus court pour aller de l'autre cote de la laguna et ainsi prendre le chemin du retour.
22/06/10
Avec le tour de la laguna (tres tres jolie je dois dire), qui nous a prit trois heures pas possible d'atteindre Quetena la ville la plus proche (70 Km tout de meme), on a du planter la tente...
23/06/10
Le chemin du retour est rytme par une lente redescente vers des altitudes plus correctes (entre 3500 et 4000n), une reparation du rechaud qui fut un succes (il a marche deux jours sans faire des siennes), le passage d'un esprit, d'un coup de vent ou du chat bus de Myazaki (on a pas su se mettre d'accord), des traverses de rivieres, voir de grandes rivieres fraiches, voir meme tres fraiches, des nouvelles recettes de riz au lait (promis je vous donnerai les recettes), des pasages dans des villages ou il n'y a pas toujours ce que tu cherches: "des pates?" "No tenemos", "du riz" "no tenemos" et des visions furtives d'animaux (condors et autres oiseaux, autruches, lievres et autres rongeurs, lama et vigognes)... La route est un peu meilleur a present et puis on a notre carotte qui nous attend a Uyuni alors malgre la fatigue c'est plutot sympa...
Merci Juan Morales, cultivateur de Quinoa et Chuño (patate locale) pour avoir retrouve et envoye a l'ambassade de France en Bolivie, ¨Mon cher Journal¨ de Michel Casquette... Aucune nouvelle de son proprietaire, il aurait disparu au passage de la tribu des zambiles 27 calle Simon Bolivar sur la route du retour d'Uyuni (comprenne qui pourra... donnez des nouvelles, nous on ne sait toujours pas)
Les auteurs
PS: Mme Casquette va bien et attend son mari a l'hotel Uyuni, 23 calle Potosi, a Sucre...
Matthieu le guide alsacien serait dans l'hotel Potosi, 32 calle Uyuni, a Sucre tambien... mais cela ne nous regarde pas.
2 commentaires:
La laguna colorada... Nous on y est passé avec beaucoup moins de courage que Michel Casquette mais quels paysages....
Les réçits de voyages sont très drôles, autant que vos moustaches.. Vous me faîtes réver !!!
Un gros bisou à vous tous par ces nuits fraîches !
Merci beaucoup les Zârmalouloux pour cette bonne humeur, ce dynamisme, pour toutes ces couleurs et ces cultures que vous nous faites découvrir!!!
Amusez vous bien, profitez en à fond, gardez votre bonne humeur.
Je vous embrasse tous bien fort de Paris, et particulièrement une petite pensée pour Arthur et Cyril. Grosses Bises Chris.
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