Opération Atocha Uyuni
Retrospective du 04/06/10 au 07/06/10
Pendant que que Yanoch et Siboulette se laissent pousser des racines boliviennes, le reste de la bande fait la jonction jusqu'à Uyuni.
Découragés par 15 km sablonneux et épineux le long de la ligne ferroviaire, nous décidons de reprendre la piste le lendemain. Ce soir là, nous resterons subjugués et fascinés devant un atardecer (coucher de soleil) éclairant tour à tour les falaises avoisinantes, les monts, les canyons et le Cholorque, cette montagne puissante culminant à 5600 m.
L'arrivée sur l'Altiplano nous réserva des surprises de taille.
Tout d'abord, nous ne pensions pas que le Sahara avec ses dunes de sable fin pouvait laisser place aux steppes mongoles en l'espace de 300 mètres!
Puis, nous nous sommes laissés surprendre par les imprécisions de la carte; Uyuni était 15 km plus loin que prévu! Trop loin pour rallier la cité avant la nuit noire.
La route se fera sans autre incident qu'une rencontre avec de l'eau croupie, nous mettant à mal et puisant sur notre force mentale et physique pour les 20 derniers kilomètres du lendemain, après une nuit fraîche au bord de la piste.
"Peut importait le sable qui leur cinglait le visage, ils continuèrent impassibles leur repas de fèves, cacahuètes et chocolat avant de reprendre les supposés ultimes kilomètres de paysages désolés qui les séparaient d'Uyuni."
Pendant que que Yanoch et Siboulette se laissent pousser des racines boliviennes, le reste de la bande fait la jonction jusqu'à Uyuni.
Découragés par 15 km sablonneux et épineux le long de la ligne ferroviaire, nous décidons de reprendre la piste le lendemain. Ce soir là, nous resterons subjugués et fascinés devant un atardecer (coucher de soleil) éclairant tour à tour les falaises avoisinantes, les monts, les canyons et le Cholorque, cette montagne puissante culminant à 5600 m.
L'arrivée sur l'Altiplano nous réserva des surprises de taille.
Tout d'abord, nous ne pensions pas que le Sahara avec ses dunes de sable fin pouvait laisser place aux steppes mongoles en l'espace de 300 mètres!
Puis, nous nous sommes laissés surprendre par les imprécisions de la carte; Uyuni était 15 km plus loin que prévu! Trop loin pour rallier la cité avant la nuit noire.
La route se fera sans autre incident qu'une rencontre avec de l'eau croupie, nous mettant à mal et puisant sur notre force mentale et physique pour les 20 derniers kilomètres du lendemain, après une nuit fraîche au bord de la piste.
"Peut importait le sable qui leur cinglait le visage, ils continuèrent impassibles leur repas de fèves, cacahuètes et chocolat avant de reprendre les supposés ultimes kilomètres de paysages désolés qui les séparaient d'Uyuni."
3 commentaires:
Salut Sibylle,
c'est Régis qui te fait un petit coucou à voir les photos j'imagine que vs devez follement vs amusez.
En tt cas moi je vé bien et je suis très content de te savoir heureuse ds ton voyage au tour du monde.
Je t'embrasse très fort et t souhaite bonne continuation. Més pensées et sentiments les plus profonds s'adressent à toi et tes 4 amis. Tu leur passera mes salutations.
Gros bisous.
@+
Merci Régis!
Tu travail encore au Monastier sur Gaseil cette année? peux tu m'envoyer ton adresse mail sur sibciboulette@hotmail.com?
popopop les loulous
sé téli j'espére k tout continu a bien se passer
pour vs.
julien vient d m montrer votre blog et ma un peu expliké l début d vos péripécies.
je vous fait pleins de bisous kiffez bien vs avez une chance énorme de vivre ce k vs vivez continuez
et revenez ns si tel est votre chemin plus grandi, épanoui ms je m fais pas d soucie pour vs
vs devez apprendre pleins de chose vrai
roulez roulez...........
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